[Retour à l'Index principal] [Section 3 - Obtenir OpenBSD] [Section 5 - Construire le Système à partir des Sources]
OpenBSD a une procédure d'installation robuste, adaptable et peut être installé depuis une simple disquette. La plupart des architectures suivent une procédure d'installation similaire ; cependant quelques détails diffèrent. Dans tous les cas, il vous est vivement conseillé de lire le document INSTALL spécifique à votre architecture se trouvant dans le dossier "platform" sur le CD-ROM ou les sites FTP (par exemple, i386/INSTALL.i386, mac68k/INSTALL.mac68k ou sparc/INSTALL.sparc).
L'installation d'OpenBSD utilise un noyau spécial avec un certain nombre d'utilitaires et de scripts d'installation inclus dans un disque RAM préchargé. Après le démarrage de ce noyau, le système d'exploitation est extrait depuis plusieurs fichiers tar(1) (.tgz) compressés à partir d'une source autre que ce disque RAM préchargé. Il existe de nombreux moyens de démarrer ce noyau d'installation :
Une fois le noyau démarré, vous avez plusieurs options pour obtenir les paquetages d'installation. Une fois de plus, toutes les architectures ne supportent pas toutes ces options.
Avant de commencer votre installation, vous devriez avoir une idée de ce que vous allez devoir faire. Vous devriez connaître ces différents éléments au minimum :
Comme exemples, nous allons regarder les images d'installation disponibles pour les architectures i386 et sparc.
L'architecture i386 dispose de six images de disques séparées parmi lesquelles choisir :
L'architecture sparc dispose de trois images disques d'installation parmi lesquelles choisir :
Pour créer une disquette formatée, utilisez la commande fdformat(1) pour chacun des formats et recherchez les secteurs défectueux..
# fdformat /dev/rfd0c
Format 1440K floppy `/dev/rfd0c'? (y/n): y
Processing VVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVVV done.
|
Si votre sortie est identique à celle ci-dessus, votre disque est correct. Cependant, si vous ne voyez pas tous les "V" alors votre disque est probablement endommagé et vous devriez en essayer un autre.
Notez que certains systèmes compatibles UNIX possèdent des commandes différentes pour le formatage des disquettes. Référez-vous à votre documentation système pour connaître la procédure exacte.
Une fois que vous avez une disquette propre et formatée, il est temps d'écrire l'image d'installation sur celle-ci. Pour cela, vous pouvez recourir à l'utilitaire dd(1). Un exemple d'utilisation de dd(1) est fourni ci-dessous :
# dd if=floppy41.fs of=/dev/rfd0c bs=32k
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Une fois l'image écrite, vérifiez qu'elle a été correctement copiée et qu'elle est identique à l'image d'origine avec la commande cmp(1). Si la disquette est identique à l'image, vous ne verrez apparaître qu'une nouvelle invite de commande.
# cmp /dev/rfd0c floppy41.fs
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Cette section décrit comment écrire des images d'installation sur une disquette à partir de Windows ou DOS. Vous pouvez obtenir les utilitaires mentionnés ci-dessous depuis le dossier tools de n'importe quel miroir FTP, ou depuis le dossier 4.1/tools du CD1 du lot de CD-ROMS OpenBSD.
Pour préparer la disquette sous MS-DOS ou Windows, utilisez tout d'abord les utilitaires natifs pour formater le disque.
Pour écrire l'image d'installation sur la disquette préparée vous pouvez utiliser rawrite, fdimage, ou ntrw. rawrite ne fonctionnera pas sur Windows NT, 2000 ou XP.
Notez que FDIMAGE.EXE et RAWRITE.EXE sont toutes deux des applications MS-DOS, et sont donc limitées à la convention de nommage de fichiers MS-DOS "8.3". Comme floppyB41.fs et floppyC41.fs ont des noms de fichiers longs, vous devrez trouver comment votre système a sauvegardé ces derniers dans le format "8.3" avant d'utiliser FDIMAGE.EXE ou RAWRITE.EXE pour créer les images de disquettes de démarrage.
Exemple d'utilisation de rawrite :
C:\> rawrite
RaWrite 1.2 - Write disk file to raw floppy diskette
Enter source file name: floppy41.fs
Enter destination drive: a
Please insert a formatted diskette into drive A: and press -ENTER- : Enter
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Exemple d'utilisation de fdimage :
C:\> fdimage -q floppy41.fs a:
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Exemple d'utilisation de ntrw :
C:\> ntrw floppy41.fs a:
3.5", 1.44MB, 512 bytes/sector
bufsize is 9216
1474560 bytes written
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Vous pouvez créer un CD-ROM soit en utilisant le fichier cd41.iso, ou dans le cas des architectures i386 et amd64, vous pouvez aussi utiliser cdrom41.fs comme image de disquette amorçable pour démarrer un système i386 depuis le CD-ROM. On laissera ici au lecteur le soin de déterminer lui-même les détails en fonction des outils mis à sa disposition.
Voici quelques-uns des outils présents dans OpenBSD :
Vous pouvez aussi démarrer bsd.rd depuis une partition OpenBSD existante, ou depuis le réseau en utilisant la procédure de démarrage PXE.
Pour démarrer depuis une disquette, placez la disquette contenant l'image d'installation OpenBSD dans le lecteur. Utilisez ensuite la commande suivante pour démarrer :
ok boot floppy
|
Pour démarrer depuis un CD-ROM, placez le CD-ROM OpenBSD dans le lecteur. Si votre Sun n'a qu'un lecteur de CD-ROM, alors allez simplement à l'invite de démarrage et tapez boot cdrom :
ok boot cdrom
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Bien sûr, cela ne fonctionnera que dans le nouveau mode de commande. Si vous possédez l'ancien mode de commande (une flèche droite), tapez 'n' pour le nouveau mode de commande. (Si vous utilisez un ancien sparc qui est antérieur à sun4c, vous n'avez probablement pas de nouveau mode de commande. Dans ce cas, vous allez devoir expérimenter.) Si vous avez de multiples lecteurs CD-ROM, vous devez démarrer depuis le bon. Essayez probe-scsi depuis le nouveau mode de commande.
ok probe-scsi
Target 0
Unit 0 Disk QUANTUM LIGHTNING 365S
Target 1
Unit 0 Removable Disk QUANTUM EMPIRE_1080S
Target 3
Unit 0 Removable Disk Joe's CD-ROM
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Regardez depuis lequel vous souhaitez démarrer. Notez le numéro de cible ("Target").
ok boot /sbus/esp/sd@X,0
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A presque tout moment de la procédure d'installation OpenBSD, vous pouvez arrêter la procédure en frappant CTRL-C et pourrez la relancer sans avoir à redémarrer en lançant install à l'invite shell.
Si votre démarrage réussi, vous verrez beaucoup de messages défiler. Ces textes, dans beaucoup d'architectures en blanc sur bleu, représentent le dmesg, du noyau qui cite les matériels trouvés et leur emplacement. Ne vous souciez pas de retenir ce message, une copie est conservée dans /var/run/dmesg.boot.
Ensuite, vous verrez ce qui suit :
rootdev=0x1100 rrootdev=0x2f00 rawdev=0x2f02
erase ^?, werase ^W, kill ^U, intr ^C, status ^T
(I)nstall, (U)pgrade or (S)hell? i
|
Avec cela, nous atteignons notre première question. Dans la plupart des cas, vous avez ces trois options :
Dans cet exemple, nous allons faire une installation mais la procédure de mise à jour est similaire.
Welcome to the OpenBSD/i386 4.1 install program.
This program will help you install OpenBSD. At any prompt except password
prompts you can escape to a shell by typing '!'. Default answers are shown
in []'s and are selected by pressing RETURN. At any time you can exit this
program by pressing Control-C, but exiting during an install can leave your
system in an inconsistent state.
Terminal type: [vt220] Enter
kbd(8) mapping? ('L' for list) [none] Enter
|
Dans la plupart des cas, le type de terminal par défaut est approprié ; cependant si vous utilisez une console série pour l'installation, ne prenez pas l'option par défaut, répondez de manière appropriée.
Si vous ne choisissez pas une table d'encodage, une disposition de clavier US est choisie.
IS YOUR DATA BACKED UP? As with anything that modifies disk contents, this
program can cause SIGNIFICANT data loss.
It is often helpful to have the installation notes handy. For complex disk
configurations, relevant disk hardware manuals and a calculator are useful.
Proceed with install? [no] y
|
Si vous sélectionnez l'option par défaut ici, le processus d'installation va se terminer et vous envoyer sur une invite de commande shell.
Les notes d'installation auxquelles nous nous référons ici sont présentes sur les CDs d'installation ainsi que les serveurs FTP dans le fichier INSTALL.<plat>, où <plat> est votre plate-forme, par exemple pour i386.
Configurer les disques sur OpenBSD varie un peu en fonction des architectures. Pour i386, amd64, macppc, zaurus et cats, la configuration est faite en deux étapes. D'abord, la partition OpenBSD du disque dur est définie avec fdisk(8), ensuite cette partition est divisée en partitions OpenBSD avec disklabel(8).
Quelques utilisateurs peuvent être désorientés par la terminologie utilisée ici. Nous utiliserons le mot "partition" dans deux sens différents. Il y a deux niveaux de partitionnement sous OpenBSD pour les architectures citées précédemment, la première, peut être considérée comme le partitionnement des Systèmes d'Exploitation, qui permet à de multiples systèmes d'exploitation de définir leur espace sur le disque, et la seconde définie comment la partition OpenBSD est subdivisée en plusieurs systèmes de fichiers individuels. La première couche est visible comme une partition de disque pour DOS, Windows ou tout autre système d'exploitation supportant cette disposition. La seconde couche de partitionnement est visible seulement par OpenBSD et les systèmes d'exploitation pouvant lire directement un système de fichiers OpenBSD.
Cool! Let's get to it...
You will now initialize the disk(s) that OpenBSD will use. To enable all
available security features you should configure the disk(s) to allow the
creation of separate filesystems for /, /tmp, /var, /usr, and /home.
Available disks are: wd0.
Which one is the root disk? (or done) [wd0] Entrée
|
Le disque "root" est le disque depuis lequel le système démarrera et normalement sur lequel l'espace "swap" réside. Les disques IDE vont être désignés comme wd0, wd1, etc., tandis que les disques SCSI et les matériels RAID apparaîtront comme sd0, sd1 et ainsi de suite. Les disques que OpenBSD peut utiliser sont listés ici -- si vous avez des lecteurs qui ne sont pas montrés, votre matériel est soit non supporté, soit mal configuré.
Do you want to use *all* of wd0 for OpenBSD? [no] Entrée
|
Si vous répondez "yes" à cette question, l'intégralité du disque sera allouée à OpenBSD. Le résultat sera un "Master Boot Record" valide et une table de partition écrite sur le disque -- une partition, de la taille du disque entier, configurée avec le type de partition OpenBSD, et indiquée comme partition amorçable. Ce sera un choix courant pour la plupart des utilisations en production d'OpenBSD ; cependant, il y a quelques systèmes sur lesquels cela ne doit pas être fait. La plupart des systèmes Compaq, certains ordinateurs portables, quelques DELL et d'autres systèmes utilisant une partition "maintenance" ou "Suspend to Disk", qui devrait être gardée intacte. Si votre système a d'autres partitions, quels que soient leurs types, que vous ne voulez pas effacer, ne répondez pas "yes" à la question précédente. En revanche, si votre système possède un disque tout neuf qui n'a jamais été utilisé, vous devrez probablement répondre "yes" (ou utiliser l'option "update" de fdisk) afin d'inscrire un enregistrement et une signature de boot valide.
Dans le cas de cet exemple, nous considérerons que le disque doit être partagé entre OpenBSD et une partition Windows 2000 existante, donc nous répondrons l'option par défaut "no", qui nous enverra dans le programme fdisk(8). Vous pouvez obtenir plus d'informations sur fdisk(8) ici.
Note importante : Les utilisateurs avec un disque de grande capacité (plus grande que la capacité généralement disponible lorsque votre machine a été fabriquée) voudront sûrement consulter cette section avant d'aller plus loin.
You will now create a single MBR partition to contain your OpenBSD data. This
partition must have an id of 'A6'; must *NOT* overlap other partitions; and
must be marked as the only active partition.
The 'manual' command describes all the fdisk commands in detail.
Disk: wd0 geometry: 2586/240/63 [39100320 Sectors]
Offset: 0 Signature: 0xAA55
Starting Ending LBA Info:
#: id C H S - C H S [ start: size ]
------------------------------------------------------------------------
*0: 06 0 1 1 - 202 239 63 [ 63: 3069297 ] DOS > 32MB
*0: 0B 0 1 1 - 202 239 63 [ 63: 3069297 ] Win95 FAT-32
1: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
2: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
3: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
Enter 'help' for information
fdisk: 1> help
help Command help list
manual Show entire OpenBSD man page for fdisk
reinit Re-initialize loaded MBR (to defaults)
setpid Set the identifier of a given table entry
disk Edit current drive stats
edit Edit given table entry
flag Flag given table entry as bootable
update Update machine code in loaded MBR
select Select extended partition table entry MBR
swap Swap two partition entries
print Print loaded MBR partition table
write Write loaded MBR to disk
exit Exit edit of current MBR, without saving changes
quit Quit edit of current MBR, saving current changes
abort Abort program without saving current changes
fdisk: 1>
|
Quelques commandes doivent être expliquées :
Notre disque ici a une partition de 1.5Go pour Windows 2000 (utilisant le système de fichiers FAT). En regardant les informations ci-dessous, nous pouvons voir que la partition Windows occupe le lecteur jusqu'au cylindre 202. Nous allons donc allouer le reste du disque à OpenBSD en commençant au cylindre 203. Vous pouvez aussi calculer que le secteur de début d'OpenBSD est 3069360 en additionnant le secteur de début de la partition existante (63) et sa taille (3069297).
Vous pouvez éditer la disposition du disque en utilisant soit la notation Cylindre/Tête/Secteur, soit la notation en secteurs bruts. Ce qui est le plus simple dépend de ce que l'on fait ; dans notre cas, travailler autour d'une partition existante, utiliser le format CHS sera probablement plus simple. Si vous créez la première partition sur le disque, utiliser les secteurs bruts sera probablement plus aisé.
fdisk: 1> e 1
Starting Ending LBA Info:
#: id C H S - C H S [ start: size ]
------------------------------------------------------------------------
1: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
Partition id ('0' to disable) [0 - FF]: [0] (? for help) a6
Do you wish to edit in CHS mode? [n] y
BIOS Starting cylinder [0 - 2585]: [0] 203
BIOS Starting head [0 - 239]: [0] Entrée
BIOS Starting sector [1 - 63]: [0] 1
BIOS Ending cylinder [0 - 2585]: [0] 2585
BIOS Ending head [0 - 239]: [0] 239
BIOS Ending sector [1 - 63]: [0] 63
fdisk:*1> p
Disk: wd0 geometry: 2586/240/63 [39100320 Sectors]
Offset: 0 Signature: 0xAA55
Starting Ending LBA Info:
#: id C H S - C H S [ start: size ]
------------------------------------------------------------------------
0: 06 0 1 1 - 202 239 63 [ 63: 3069297 ] DOS > 32MB
*0: 0B 0 1 1 - 202 239 63 [ 63: 1499M] Win95 FAT-32
*1: A6 203 0 1 - 2585 239 63 [ 3069360: 36030960 ] OpenBSD
2: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
3: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
fdisk:*1> p m
Disk: wd0 geometry: 2586/240/63 [19092 Megabytes]
Offset: 0 Signature: 0xAA55
Starting Ending LBA Info:
#: id C H S - C H S [ start: size ]
------------------------------------------------------------------------
*0: 06 0 1 1 - 202 239 63 [ 63: 1499M] DOS > 32MB
0: 0B 0 1 1 - 202 239 63 [ 63: 3069297 ] Win95 FAT-32
1: A6 203 0 1 - 2585 239 63 [ 3069360: 17593M] OpenBSD
2: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0M] unused
3: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0M] unused
fdisk:*1>
|
Sur les plates-formes utilisant fdisk, Il est important que la première partition saute la première piste du disque, dans notre cas, qu'elle commence au secteur 63. Ceci varie d'une machine à une autre et d'un disque à un autre. Si une partition OpenBSD est crée en ayant pour origine le secteur 0, la table de partition finira écrasée par le "Partition Boot Record" de la partition OpenBSD. Le système sera toujours amorçable, mais il sera très difficile à maintenir, et ce type de configuration n'est ni recommandé ni supporté.
Notez que l'invite a changé pour inclure un astérisque ('*') indiquant que nous avons des changements non enregistrés. Comme nous pouvons le voir à partir de la sortie p m nous n'avons pas altéré notre partition Windows, nous avons correctement alloué le reste du disque à OpenBSD et les partitions ne se chevauchent pas. Nous avons terminé. Presque.
Ce que nous n'avons pas fait est de définir la partition active pour que la machine l'amorce lors du prochain redémarrage :
fdisk:*1> f 1
Partition 1 marked active.
fdisk:*1> p
Disk: wd0 geometry: 2586/240/63 [39100320 Sectors]
Offset: 0 Signature: 0xAA55
Starting Ending LBA Info:
#: id C H S - C H S [ start: size ]
------------------------------------------------------------------------
0: 06 0 1 1 - 202 239 63 [ 63: 3069297 ] DOS > 32MB
*1: A6 203 0 1 - 2585 239 63 [ 3069360: 36030960 ] OpenBSD
2: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
3: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
fdisk:*1>
|
Maintenant, nous sommes prêts à enregistrer nos changements :
fdisk:*1> w
Writing MBR at offset 0.
wd0: no disk label
fdisk: 1> q
|
Here is the partition information you chose:
Disk: wd0 geometry: 2586/240/63 [39100320 Sectors]
Offset: 0 Signature: 0xAA55
Starting Ending LBA Info:
#: id C H S - C H S [ start: size ]
------------------------------------------------------------------------
*0: 06 0 1 1 - 202 239 63 [ 63: 3069297 ] DOS > 32MB
1: A6 203 0 1 - 2585 239 63 [ 3069360: 36030960 ] OpenBSD
2: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
3: 00 0 0 0 - 0 0 0 [ 0: 0 ] unused
You will now create an OpenBSD disklabel inside the OpenBSD MBR
partition. The disklabel defines how OpenBSD splits up the MBR partition
into OpenBSD partitions in which filesystems and swap space are created.
The offsets used in the disklabel are ABSOLUTE, i.e. relative to the
start of the disk, NOT the start of the OpenBSD MBR partition.
disklabel: no disk label
WARNING: Disk wd0 has no label. You will be creating a new one.
# using MBR partition 1: type A6 off 3069360 (0x2ed5b0) size 36030960 (0x225c9f0)
Treating sectors 3069360-39100320 as the OpenBSD portion of the disk.
You can use the 'b' command to change this.
Initial label editor (enter '?' for help at any prompt)
> ?
Available commands:
? [cmnd] - this message or command specific help.
a [part] - add new partition.
b - set OpenBSD disk boundaries.
c [part] - change partition size.
D - set label to default.
d [part] - delete partition.
e - edit drive parameters.
g [b|d|u] - use [b]ios, [d]isk or [u]ser geometry.
M - show entire OpenBSD man page for disklabel.
m [part] - modify existing partition.
n [part] - set the mount point for a partition.
p [unit] - print label.
q - quit and save changes.
r - recalculate free space.
s [path] - save label to file.
u - undo last change.
w - write label to disk.
X - toggle expert mode.
x - exit without saving changes.
z - zero out partition table.
Numeric parameters may use suffixes to indicate units:
'b' for bytes, 'c' for cylinders, 'k' for kilobytes, 'm' for megabytes,
'g' for gigabytes or no suffix for sectors (usually 512 bytes).
'%' for percent of total disk size, '&' for percent of free space.
Non-sector units will be rounded to the nearest cylinder.
Entering '?' at most prompts will give you (simple) context sensitive help.
>
|
Une fois de plus, certaines commandes doivent être expliquées :
Diviser votre disque proprement est important. La réponse à la question, "Comment dois-je partitionner mon système ?" est "Exactement comme vous en avez besoin". Cela variera d'applications en applications. Il n'y a pas de réponse universelle. Si vous n'êtes pas sûr de la façon dont vous voulez partitionner votre système, regardez cette discussion.
Sur ce système, nous avons près de 17Go disponibles pour OpenBSD. Cela représente beaucoup d'espace, et nous n'aurons probablement pas besoin d'autant. Nous n'utiliserons donc pas les tailles minimales absolues. Nous préférerons disposer de quelques centaines de mega-octets en trop plutôt que d'un kilo-octets en moins.
Sur le disque "root", deux partitions 'a' et 'b' doivent être créées. La procédure d'installation ne démarrera pas tant que ces deux partitions ne seront pas disponibles. 'a' sera utilisée comme racine du système de fichiers (/) et 'b' sera utilisée comme zone de "swap".
Après quelques réflexions, nous décidons de créer juste assez de partitions pour autoriser la création des systèmes de fichiers séparés qui est recommandée (/, /tmp, /var, /usr, /home) et une partition de "swap" :
> p m
device: /dev/rwd0c
type: ESDI
disk: ESDI/IDE disk
label: ST320011A
bytes/sector: 512
sectors/track: 63
tracks/cylinder: 16
sectors/cylinder: 1008
cylinders: 16383
total sectors: 39102336
free sectors: 36030960
rpm: 3600
16 partitions:
# size offset fstype [fsize bsize cpg]
a: 17593.2M 1498.7M unused 0 0
c: 19092.9M 0.0M unused 0 0
i: 1498.7M 0.0M MSDOS
> d a
> a a
offset: [3069360] Entrée
size: [36030960] 150m
Rounding to nearest cylinder: 307440
FS type: [4.2BSD] Entrée
mount point: [none] /
> a b
8ffset: [3376800] Entrée
size: [35723520] 300m
Rounding to nearest cylinder: 614880
FS type: [swap] Entrée
> a d
offset: [3991680] Entrée
size: [35108640] 120m
Rounding to nearest cylinder: 245952
FS type: [4.2BSD] Entrée
mount point: [none] /tmp
> a e
offset: [4237632] Entrée
size: [34862688] 80m
Rounding to nearest cylinder: 164304
FS type: [4.2BSD] Entrée
mount point: [none] /var
> a g
offset: [4401936] Entrée
size: [34698384] 6g
Rounding to nearest cylinder: 12582864
FS type: [4.2BSD] Entrée
mount point: [none] /usr
> a h
offset: [16984800]] Entrée
size: [22115520] 4g
Rounding to nearest cylinder: 8388576
FS type: [4.2BSD] Entrée
mount point: [none] /home
> p m
device: /dev/rwd0c
type: ESDI
disk: ESDI/IDE disk
label: ST320011A
bytes/sector: 512
sectors/track: 63
tracks/cylinder: 16
sectors/cylinder: 1008
cylinders: 16383
total sectors: 39102336
free sectors: 22115520
rpm: 3600
16 partitions:
# size offset fstype [fsize bsize cpg]
a: 150.1M 1498.7M 4.2BSD 2048 16384 16 # /
b: 300.2M 1648.8M swap
c: 19092.9M 0.0M unused 0 0
d: 120.1M 1949.1M 4.2BSD 2048 16384 16 # /tmp
e: 80.2M 2069.2M 4.2BSD 2048 16384 16 # /var
g: 6144.1M 2149.4M 4.2BSD 2048 16384 16 # /usr
h: 4096.0M 8293.4M 4.2BSD 2048 16384 16 # /home
i: 1498.7M 0.0M MSDOS
> q
Write new label?: [y] Entrée
|
Vous noterez qu'il y a une partition c que nous avons vraisemblablement ignoré. Cette partition représente votre disque entier ; n'essayez pas de la modifier. Vous noterez aussi que la partition i n'as pas été définie par nous ; elle est la partition existante Windows 2000. Les partitions n'ont pas de lettre prédéfinie particulière -- à l'exception de a (racine), b (swap) et c (disque entier), le reste des partitions (jusqu'a la lettre p) est disponible pour l'utilisation que vous désirez en faire.
Si vous regardez de près à la sortie de disklabel, vous verrez que le valeur de "RPM" est probablement faux. Ceci est historique ; la vitesse du disque n'est utilisée nulle part dans le système. Ne vous inquiétez pas de cela.
Mount point for wd0d (size=122976k)? (or 'none' or 'done') [/tmp] Entrée
Mount point for wd0e (size=82152k)? (or 'none' or 'done') [/var] Entrée
Mount point for wd0g (size=6291432k)? (or 'none' or 'done') [/usr] Entrée
Mount point for wd0h (size=4194288k)? (or 'none' or 'done') [/home] Entrée
Mount point for wd0d (size=122976k)? (or 'none' or 'done') [/tmp] done
No more disks to initialize.
OpenBSD filesystems:
wd0a /
wd0d /tmp
wd0e /var
wd0g /usr
wd0h /home
The next step *DESTROYS* all existing data on these partitions!
Are you really sure that you're ready to proceed? [no] y
/dev/rwd0a: 307440 sectors in 305 cylinders of 16 tracks, 63 sectors
150.1MB in 1 cyl groups (306 c/g, 150.61MB/g, 19328 i/g)
/dev/rwd0d: 245952 sectors in 244 cylinders of 16 tracks, 63 sectors
120.1MB in 1 cyl groups (244 c/g, 120.09MB/g, 15360 i/g)
/dev/rwd0e: 164304 sectors in 163 cylinders of 16 tracks, 63 sectors
80.2MB in 1 cyl groups (164 c/g, 80.72MB/g, 10368 i/g)
/dev/rwd0g: 12582864 sectors in 12483 cylinders of 16 tracks, 63 sectors
6144.1MB in 39 cyl groups (328 c/g, 161.44MB/g, 20608 i/g)
/dev/rwd0h: 8388576 sectors in 8322 cylinders of 16 tracks, 63 sectors
4096.0MB in 26 cyl groups (328 c/g, 161.44MB/g, 20608 i/g)
/dev/wd0a on /mnt type ffs (rw, asynchronous, local, ctime=Sat Oct 7
19:49:44 2
006)
/dev/wd0h on /mnt/home type ffs (rw, asynchronous, local, nodev, nosuid, ctime=T
hu Apr 19 00:54:25 2007)
/dev/wd0d on /mnt/tmp type ffs (rw, asynchronous, local, nodev, nosuid, ctime=Th
u Apr 19 00:54:25 2007)
/dev/wd0g on /mnt/usr type ffs (rw, asynchronous, local, nodev, ctime=Thu Apr 19
00:54:25 2007)
/dev/wd0e on /mnt/var type ffs (rw, asynchronous, local, nodev, nosuid, ctime=Th
u Apr 19 00:54:25 2007)
|
Vous devez vous demander pourquoi la procédure d'installation vous demande encore vos points de montage. Cela permet d'éviter des erreurs ou des omissions sur les points de montage spécifiés pendant la création du partitionnement. Par exemple, la procédure d'installation va automatiquement supprimer les points de montage identiques que vous avez entrés lors du partitionnement. Le programme "disklabel" vous autorisera de telles erreurs, ces points de montage doivent donc être vérifiés après l'exécution du programme "disklabel". Ceux qui sont en doubles et qui ont été supprimés deviendront des partitions sans point de montage, auxquelles vous devez assigner de nouveaux points de montage si vous souhaitez utiliser l'espace.
Notez que la question "Are you really sure that you are ready to proceed?" a pour réponse par défaut "no", vous devrez donc délibérément lui indiquer de démarrer la procédure de formatage de vos partitions. Si vous choisissez "no", vous serez simplement renvoyé vers une invite de commande shell et pourrez relancer l'installation en tapant la commande "install", ou en redémarrant simplement depuis votre média d'amorçage.
Durant cette étape tous les systèmes de fichiers sont formatés. Cela peut prendre un certain temps, en fonction de la taille des partitions et de la vitesse du disque.
Vous devez maintenant configurer le nom d'hôte du système ("hostname"). Cette valeur, avec le nom de domaine DNS (spécifié ci-dessous), sera sauvée dans le fichier /etc/myname, qui est utilisé pendant le démarrage normal pour configurer le nom d'hôte du système. Si vous ne configurez pas le nom de domaine du système, la valeur par défaut 'my.domain' sera utilisée.
Il est important de configurer ce nom maintenant, car il sera utilisé lorsque les clés cryptographiques nécessaires au système seront générées lors du premier démarrage suivant l'installation. Cette génération intervient que le réseau soit configuré ou pas.
System hostname (short form, e.g. 'foo'): puffy
|
Maintenant il est temps de passer à la configuration de votre réseau. Le réseau doit être configuré si vous voulez procéder à une installation par FTP ou NFS car celle-ci sera basée sur les informations que vous aller entrer. Voici un aperçu de la section de configuration réseau de la procédure d'installation. Dans notre exemple, nous connecterons une interface (fxp0) à un modem câble, configurée à l'aide de DHCP. L'autre interface sera connectée à notre réseau interne et configurée statiquement.
Configure the network? [yes] Enter
Available interfaces are: fxp0 xl0.
Which one do you wish to initialize? (or 'done') [fxp0] xl0
Symbolic (host) name for xl0? [puffy] Enter
The default media for xl0 is
media: Ethernet autoselect (100baseTX full-duplex)
Do you want to change the default media? [no] Enter
IPv4 address for xl0? (or 'dhcp') 199.185.137.55
Netmask? [255.255.255.0] Enter
IPv6 address for xl0? (or 'rtsol' or 'none') [none] Enter
Available interfaces are: fxp0.
Which one do you wish to initialize? (or 'done') [fxp0] Enter
Symbolic (host) name for fxp0? [puffy] Enter
The media options for fxp0 are currently
media: Ethernet autoselect (10baseT half-duplex)
Do you want to change the media options? [no] Enter
IPv4 address for fxp0? (or 'none' or 'dhcp') dhcp
Issuing hostname-associated DHCP request for fxp0.
DHCPDISCOVER on fxp0 to 255.255.255.255 port 67 interval 1
DHCPOFFER from 73.34.136.1
DHCPREQUEST on fxp0 to 255.255.255.255 port 67
DHCPACK from 73.34.136.1
bound to 69.241.244.76 -- renewal in 1800 seconds.
IPv6 address for fxp0? (or 'rtsol' or 'none') [none] Enter
No more interfaces to initialize.
DNS domain name? (e.g. 'bar.com') [my.domain] example.com
DNS nameserver? (IP address or 'none') [68.87.77.130 68.87.72.130] Enter
Use the nameserver now? [yes] Enter
Default route? (IP address, 'dhcp' or 'none') [dhcp] Enter
Edit hosts with ed? [no] Enter
Do you want to do any manual network configuration? [no] Enter
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NOTE : Une seule interface peut être facilement configurée en utilisant DHCP pendant l'installation. Si vous essayez de configurer plus d'une interface en utilisant DHCP vous allez au devant d'erreurs. Vous devrez configurer manuellement les autres interfaces après l'installation.
Maintenant, configurez le mot de passe pour le compte root :
Password for root account? (will not echo) pAssWOrd
Password for root account? (again) pAssWOrd
|
Utilisez un mot de passe sécurisé pour le compte root. Vous créerez
d'autres comptes utilisateurs après le démarrage du système.
Extrait de
passwd(1):
The new password should be at least six characters long and not purely
alphabetic. Its total length must be less than _PASSWORD_LEN (currently
128 characters). A mixture of both lower and uppercase letters, numbers,
and meta-characters is encouraged.
Une fois votre réseau configuré, le script d'installation vous donne la possibilité de faire des ajustements manuels à la configuration.
Enfin, vous aurez la possibilité de choisir le média d'installation. Les options sont listées ci-dessous.
Let's install the sets!
Location of sets? (cd disk ftp http or 'done') [cd] Entrée
Available CD-ROMs are: cd0.
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Dans cet exemple nous installons depuis le CD-ROM. Une liste des matériels sur notre machine identifiés comme lecteurs de CD-ROM nous sera proposée. La plupart des gens n'en auront qu'un. Si vous en avez besoin, soyez sûr d'indiquer le bon matériel que vous souhaitez utiliser pour installer OpenBSD.
REMARQUE : Les options d'installation ne sont pas toutes disponibles sur toutes les plates-formes. Dans le cas présenté, la plate-forme OpenBSD/i386 ne supporte pas les installations via NFS c'est pour cela que cette option n'est pas affichée dans la liste d'options d'installation.
Available CD-ROMs are: cd0.
Which one contains the install media? (or 'done') [cd0] Entrée
Pathname to the sets? (or 'done') [4.1/i386] Entrée
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Ici, on vous demande dans quel dossier se trouvent les fichiers d'installation, celui-ci est 4.1/i386/ sur les CD-ROM officiels.
Il est maintenant temps de choisir quels sets de fichiers vous aller installer. Vous pouvez avoir une description de ces sets dans la section suivante. Les fichiers que le programme d'installation détecte sont montrés à l'écran. Votre travail consiste simplement à spécifier ceux que vous souhaitez installer. Par défaut toutes les archives ne concernant pas X sont sélectionnées; certains utilisateurs expérimentés peuvent préférer se limiter au strict minimum requis pour démarrer OpenBSD, qui devrait se résumer à base41.tgz, etc41.tgz et bsd. La plupart des utilisateurs voudront installer soit les archives par défaut, soit les archives complètes. L'exemple suivant illustre une installation complète.
Select sets by entering a set name, a file name pattern or 'all'. De-select
sets by prepending a '-' to the set name, file name pattern or 'all'. Selected
sets are labeled '[x]'.
[X] bsd
[X] bsd.rd
[ ] bsd.mp
[X] base41.tgz
[X] etc41.tgz
[X] misc41.tgz
[X] comp41.tgz
[X] man41.tgz
[X] game41.tgz
[ ] xbase41.tgz
[ ] xetc41.tgz
[ ] xshare41.tgz
[ ] xfont41.tgz
[ ] xserv41.tgz
Set name? (or 'done') [bsd.mp] all
[X] bsd
[X] bsd.rd
[X] bsd.mp
[X] base41.tgz
[X] etc41.tgz
[X] misc41.tgz
[X] comp41.tgz
[X] man41.tgz
[X] game41.tgz
[X] xbase41.tgz
[X] xetc41.tgz
[X] xshare41.tgz
[X] xfont41.tgz
[X] xserv41.tgz
|
Vous pouvez faire toutes sortes de combinaisons ici -- "-x*" désélectionnera tous les composants X. Dans notre cas, nous allons installer tous les paquetages. Bien que le système se lancera avec un minimum de paquetages, la sélection par défaut ou une installation complète sont recommandées. De plus amples détails sur la sélection des paquetages sont disponibles ici.
Une fois que vous avez choisi les paquetages que vous désirez, il vous sera demandé si vous êtes d'accord pour décompresser puis installer ces derniers. Une barre de progression sera affichée pour vous informer du temps nécessaire. Les temps varient énormément en fonction du système sur lequel vous installez OpenBSD, les paquetages que vous avez sélectionnés et la vitesse du média source. Cela va de quelques minutes à plusieurs heures.
Set name? (or 'done') [done] Enter
Ready to install sets? [yes] Enter
Getting bsd ...
100% |**************************************************| 5972 KB 00:03
Getting bsd.rd ...
100% |**************************************************| 4887 KB 00:03
Getting bsd.mp ...
100% |**************************************************| 6020 KB 00:03
Getting base41.tgz ...
100% |**************************************************| 41437 KB 00:34
Getting etc41.tgz ...
100% |**************************************************| 1210 KB 00:01
Getting misc41.tgz ...
100% |**************************************************| 2238 KB 00:02
Getting comp41.tgz ...
100% |**************************************************| 76666 KB 01:02
Getting man41.tgz ...
100% |**************************************************| 7473 KB 00:07
Getting game41.tgz ...
100% |**************************************************| 2548 KB 00:02
Getting xbase41.tgz ...
100% |**************************************************| 10344 KB 00:08
Getting xetc41.tgz ...
100% |**************************************************| 90772 00:00
Getting xshare41.tgz ...
100% |**************************************************| 2024 KB 00:03
Getting xfont41.tgz ...
100% |**************************************************| 32456 KB 00:24
Getting xserv41.tgz ...
100% |**************************************************| 19365 KB 00:15
Location of sets? (cd disk ftp http or 'done') [done] Enter
|
A ce point, vous pouvez spécifier des fichiers additionnels venant d'autres sources (incluant les paquetages personnalisés) si vous le souhaitez, ou taper 'done' si vous avez installé tous les paquetages dont vous avez besoin.
Start sshd(8) by default? [yes] y
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(Si vous changez d'avis plus tard, modifiez /etc/rc.conf.local ou /etc/rc.conf.)
Vous avez à présent la possibilité de lancer OpenNTPD au boot. OpenNTPD est un moyen peu coûteux permettant de garder une horloge système synchronisée, et la configuration par défaut est suffisante dans la plupart des cas.
Start ntpd(8) by default? [no] y
|
(Si vous changez d'avis plus tard, modifiez /etc/rc.conf.local ou /etc/rc.conf.)
Sur certaines plates-formes, on vous demande maintenant si vous souhaitez lancer X sur votre système. Si vous répondez 'Y', /etc/sysctl.conf sera modifié pour inclure la ligne machdep.allowaperture=1 ou machdep.allowaperture=2, en fonction de votre architecture. Sous certaines architectures cette question ne sera pas posée du tout. Si vous ne comptez pas utiliser X sur ce système ou si vous n'êtes pas sûr, répondez 'N' vu que vous pouvez facilement changer la valeur ultérieurement en éditant /etc/sysctl.conf au besoin. Il existe un avantage potentiel à laissé le pilote d'aperture xf86(4) désactivé car le moteur graphique d'une carte vidéo moderne pourrait être utilisé pour altérer la mémoire, passant outre le contrôle du processeur.
Do you expect to run the X Window System? [no] y
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Ensuite, on vous demande si vous souhaitez vous servir d'une console série, plutôt que d'un clavier et un écran standards, sur cet ordinateur. Si vous choisissez "yes" et répondez à deux autres questions, /etc/boot.conf et /etc/ttys seront édités de manière appropriée pour vous. La plupart des utilisateurs choisiront la réponse par défaut, c'est à dire no.
Change the default console to com0? [no] Entrée
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Votre dernière tâche est de paramétrer votre fuseau horaire ("timezone"). Selon l'endroit où votre machine réside, il peut y avoir plusieurs réponses équivalentes à la question. Dans l'exemple suivant, nous utilisons US/Eastern, mais l'on pourrait aussi utiliser EST5EDT ou US/Michigan et obtenir le même résultat. Appuyer sur ? à l'invite vous aidera dans vos choix.
Saving configuration files......done.
Generating initial host.random file ......done.
What timezone are you in? ('?' for list) [Canada/Mountain] ?
Africa/ Chile/ GB-Eire Israel NZ-CHAT UCT
America/ Cuba GMT Jamaica Navajo US/
Antarctica/ EET GMT+0 Japan PRC UTC
Arctic/ EST GMT-0 Kwajalein PST8PDT Universal
Asia/ EST5EDT GMT0 Libya Pacific/ W-SU
Atlantic/ Egypt Greenwich MET Poland WET
Australia/ Eire HST MST Portugal Zulu
Brazil/ Etc/ Hongkong MST7MDT ROC posix/
CET Europe/ Iceland Mexico/ ROK posixrules
CST6CDT Factory Indian/ Mideast/ Singapore right/
Canada/ GB Iran NZ Turkey zone.tab
What timezone are you in? ('?' for list) [Canada/Mountain] US
What sub-timezone of 'US' are you in? ('?' for list) ?
Alaska Central Hawaii Mountain Samoa
Aleutian East-Indiana Indiana-Starke Pacific
Arizona Eastern Michigan Pacific-New
Select a sub-timezone of 'US' ('?' for list): Eastern
Setting local timezone to 'US/Eastern'...done.
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Si vous êtes intéressé par un horodatage vraiment précis, vous devriez lire ceci.
Les dernières étapes sont pour le système de créer le répertoire /dev (ce qui pourrait prendre un peu de temps sur certains systèmes, surtout si vous avez peu de RAM), et d'installer les "boot blocks".
Making all device nodes...done.
Installing boot block...
boot: /mnt/boot
proto: /usr/mdec/biosboot
device: /dev/rwd0c
/usr/mdec/biosboot: entry point 0
proto bootblock size 512
/mnt/boot is 3 blocks x 16384 bytes
fs block shift 2; part offset 3069360; inode block 216, offset 9256
using MBR partition 1: type 166 (0xa6) offset 3069360 (0x2ed5b0)
...done.
CONGRATULATIONS! Your OpenBSD install has been successfully completed!
To boot the new system, enter halt at the command prompt. Once the
system has halted, reset the machine and boot from the disk.
# halt
syncing disks... done
The operating system has halted.
Please press any key to reboot.
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OpenBSD est maintenant installé sur votre système et prêt pour son premier démarrage, mais avant cela...
Une astuce pouvant être utilisée pour une configuration "d'avant le premier
démarrage" consiste à lancer :
# /mnt/usr/sbin/chroot /mnt
au prompt du shell.
Ceci règlera vos points de montage comme ils le seraient après un
redémarrage normal du système fraîchement installé.
Vous pouvez à présent réaliser des tâches de configuration basique du système,
comme l'ajout d'utilisateurs, le changement des points de montage, etc.
Une des premières choses que vous devrez lire après avoir installé votre système est afterboot(8).
Vous devriez aussi trouver ces différents liens utiles :
L'installation complète d'OpenBSD est divisée en plusieurs paquetages de fichiers séparés. Toutes les utilisations ne requièrent pas tous les paquetages. Voici une vue d'ensemble de chacun :
Même si vous n'avez pas l'intention de faire tourner X, certains paquetages nécessitent que les bibliothèques graphiques présentes dans xbase41.tgz soient installées sur votre système. Cette dépendance peut facilement être résolue en installant xbase41.tgz, le reste de X n'étant pas nécessaire.
Evidemment, la réponse à cette question dépend de l'utilisation que vous voulez faire du système. Cependant, ces nombres peuvent être utilisés comme un point de départ :
(root) 60Mo
/usr 420Mo (sans X) ou 550Mo (avec X)
/var 25Mo
/tmp 50Mo
swap 32Mo
Ce sont les tailles de systèmes de fichiers pour une installation
complète. Ces nombres incluent un peu d'espace supplémentaire, et
correspondent à une installation typique d'une machine connectée à
Internet et à usage personnel.
Gardez les choses suivantes à l'esprit :
Il y a plusieurs bonnes raisons pour utiliser des systèmes de fichiers séparés plutôt que de n'en utiliser qu'un ou deux pour tout stocker :
Quelques remarques sur le partitionnement :
Voici plusieurs options pour le "multiboot" :
boot hd0a:/bsd
pour que le système démarre sur le disque dur 0, la partition OpenBSD
'a' et le fichier de noyau /bsd. Notez que vous pouvez aussi
démarrer d'autres disques avec une ligne comme :
"boot hd2a:/bsd" pour lancer le troisième disque dur de votre
système. Pour lancer OpenBSD, insérez la disquette dans le lecteur et
redémarrez. Pour lancer un autre système d'exploitation, éjectez la
disquette et redémarrez.
Dans ce cas, le programme boot(8) chargé depuis la disquette, cherche et lit /etc/boot.conf. L'instruction "boot hd0a:/bsd" indique à boot(8) depuis quel endroit charger le noyau -- dans ce cas, le premier disque dur que le BIOS voit. Gardez à l'esprit que seulement un petit fichier (/boot) est chargé depuis la disquette -- le système charge le noyau entier depuis le disque dur, cela ne ralentit que de quelques secondes la procédure de démarrage.
# dd if=/dev/rsd0a of=openbsd.pbr bs=512 count=1
Remarque : ceci est une excellente occasion pour vous rappeler que
saisir bêtement des commandes auxquelles vous ne comprenez rien est
vraiment une mauvaise idée. La commande ci-dessus ne fonctionnera pas
directement sur la plupart des machines. Au lecteur de l'adapter à son
équipement.
Maintenant démarrez sous NT et mettez openbsd.pbr dans C:. Ajoutez
une ligne comme celle-ci à la fin du fichier C:\BOOT.INI :
c:\openbsd.pbr="OpenBSD"
Quand vous redémarrerez, vous devriez être en mesure de choisir OpenBSD dans le menu de chargement NT. D'autres informations sur le NTLDR sont disponibles dans le "NTLDR Hacking Guide".
Sur Windows XP vous pouvez aussi éditer les informations en utilisant la "GUI" ; consultez le XP Boot.ini HOWTO.
Des programmes faisant la plupart de ce travail sont à votre disposition, par exemple BootPart. Ce programme peut être lancé depuis Windows NT/2000/XP, et ira chercher le PBR OpenBSD, le mettra dans votre partition NT/2000/XP partition et le rajoutera dans C:\BOOT.INI.
Note : Le chargeur de démarrage Windows NT/2000/XP est seulement capable de démarrer des systèmes depuis le premier disque dur. Vous ne pouvez pas l'utiliser pour charger OpenBSD depuis le second disque sur un système.
D'autres utilisateurs de chargeurs de démarrage OpenBSD ont inclus avec succès GAG, OS-BS, The Ranish Partition Manager et GRUB.
Veuillez vous référer au INSTALL.linux, qui donne les instructions en profondeur pour faire fonctionner OpenBSD avec Linux.
Rappelez vous, il est important pour les développeurs OpenBSD de garder une trace de quels matériels fonctionnent, et de quels matériels ne fonctionnent pas parfaitement.
Un commentaire de /usr/src/etc/root/root.mail
If you wish to ensure that OpenBSD runs better on your machines, please do us
a favor (after you have your mail system configured!) and type something like:
# dmesg | mail -s "Sony VAIO 505R laptop, apm works OK" dmesg@openbsd.org
so that we can see what kinds of configurations people are running. As shown,
including a bit of information about your machine in the subject or the body
can help us even further. We will use this information to improve device driver
support in future releases. (Please do this using the supplied GENERIC kernel,
not for a custom compiled kernel, unless you're unable to boot the GENERIC
kernel. If you have a multi-processor machine, dmesg results of both GENERIC.MP
and GENERIC kernels are appreciated.) The device driver information we get from
this helps us fix existing drivers. Thank you!
Soyez sûr d'envoyer le mail depuis un compte sous lequel pour serez habilité
à recevoir pour que les développeurs puissent vous contacter s'il ont quelque
chose qu'il voudraient que vous testiez ou changiez afin que votre
configuration fonctionne. Il n'est pas important d'envoyer le mail depuis
la même machine que celle sur laquelle tourne OpenBSD, donc si cette
dernière n'est pas en mesure de recevoir des mails, faites simplement :
$ dmesg | mail your-account@yourmail.dom
et transférez le message à
dmesg@openbsd.org
Où your-account@yourmail.dom est votre compte de messagerie
régulier.
NOTE
La méthode précédente est très simple mais si vous avez choisi de ne pas
configurer le système de messagerie de votre machine OpenBSD, vous
devriez toutefois envoyer votre dmesg aux développeurs. Sauvegardez
simplement la sortie de votre dmesg dans un fichier texte.
$ dmesg > ~/dmesg.txt
Puis transférez ce fichier (en utilisant FTP/scp/floppydisk/pigeon
voyageur/...) vers le système depuis lequel vous utilisez votre
messagerie. Puisque la réception des messages dmesg est gérée
automatiquement, merci de vous référer aux recommendations suivantes
lors de l'utilisation de systèmes/clients de messagerie alternatifs :
Parfois, vous réalisez que vous AURIEZ vraiment eu besoin de comp41.tgz (ou de n'importe quel composant système) après tout, mais vous ne l'avez pas réalisé quand vous avez installé votre système. Bonne nouvelle : Il y a deux voies relativement simples pour rajouter un paquetage après l'installation initiale :
# cd /
# tar xzvpf comp41.tgz
|
N'oubliez PAS l'option 'p' ci-dessus qui restaurera correctement les permissions sur les fichiers !
Une méprise courante est de croire qu'il est possible d'utiliser pkg_add(1) pour rajouter des sets d'installation manquants. Cela ne fonctionne pas. pkg_add(1) est l'outil de gestion des paquetages pour installer des applications tierces. Cet outil prend en compte les fichiers paquetages et non des archives tar génériques telles que les ensembles d'installation.
Le noyau "RAM Disk" définit la racine du système de fichiers du noyau -- plutôt qu'être stockés sur un disque physique, les utilitaires disponibles après l'amorçage de bsd.rd sont enregistrés dans le kernel, et lancés depuis un système de fichiers basé en mémoire RAM. bsd.rd comporte aussi une floppée d'utilitaires vous permettant de faire de la maintenance système et de lancer une installation.
Sur certaines architectures, bsd.rd est actuellement la méthode d'installation privilégiée -- vous placez ce noyau sur un système de fichiers, vous le démarrez, et lancez l'installation depuis ce dernier. Sur la plupart des architectures, si vous utilisez une ancienne version d'OpenBSD, vous pouvez obtenir une nouvelle version de bsd.rd par FTP, redémarrer à partir de lui, et installer la nouvelle version d'OpenBSD sans avoir besoin de quelque média amovible que ce soit.
Voici un exemple d'amorçage de bsd.rd sur un système i386 :
Using Drive: 0 Partition: 3
reading boot.....
probing: pc0 com0 com1 apm mem[639k 255M a20=on]
disk: fd0 hd0+
>> OpenBSD/i386 BOOT 2.10
boot> boot hd0a:/bsd.rd
. . . normal boot to install . . .
|
La règle générale en lançant bsd.rd est de changer votre noyau d'amorçage de /bsd à bsd.rd quelle que soit la méthode pour votre architecture.
machine mem +0x3000000@0x1000000
pour ajouter 48Mo (0x3000000) après les premiers 16Mo
(0x1000000). Typiquement, si vous avez une machine avec
ce problème, vous devriez entrer la commande précédente d'abord
dans l'invite boot> du CD-ROM ou de la Disquette, charger
la disquette, redémarrer et créer un fichier /etc/boot.conf
avec la ligne précédente pour que dans les démarrages suivants
OpenBSD reconnaisse toute la mémoire disponible.
Une mise à jour ROM règlera ce problème sur certains systèmes.
# fdisk -u wd0
Note : l'option "update" du mode ("-e") interactif de fdisk n'écrira pas les
bits de signature requis pour rendre le disque amorçable.
La taille de la clé par défaut a été augmentée pour OpenBSD 3.8, en conséquence de quoi les temps de génération de clés sont beaucoup plus élevés que ce qu'ils furent. Les utilisateurs possédant des machines très lentes souhaiteront peut-être générer leurs clés sur une autre machine, les placer dans l'archive site41.tgz, et les installer avec le reste des "file sets".
Do you want to see a list of potential FTP servers? [yes] Entrée
Getting the list from 192.128.5.191 (ftp.openbsd.org)... FAILED
Failed to change directory.
Server IP address or hostname?
|
Utilisez simplement la liste de miroirs FTP pour trouver votre site miroir FTP favori, et entrez manuellement son nom lorsque cela vous est demandé.
Note : Vous ne devriez pas voir cela si vous installez une version "-release" ou depuis un CD-ROM.
Bien que cette configuration peut fonctionner, cela peut causer des problèmes de maintenance et devrait être corrigé. Pour corriger ce problème, le système de fichiers doit généralement être recréé depuis le début (si vous savez VRAIMENT ce que vous faites, vous devriez être en mesure de recréer juste le disklabel et le MBR et ne perdre que la première partition OpenBSD du disque).
Ce paquetage vous permet d'ajouter et/ou écraser des fichiers installés dans les paquetages 'normaux' et donc de personnaliser l'installation ou la mise à jour.
Vous pouvez également créer des sets d'installation spécifiques à un hôte, nommés siteXX-<hostname>.tgz, par exemple, "site41-puffy.tgz". Cela facilite les installations customisées, mises à jour ou récupération après désastre.
Quelques exemples d'utilisation de fichier siteXX.tgz :
Notez que le script install.site devra être placé dans un fichier siteXX.tgz, tandis que le script upgrade.site pourra être placé à la racine du système de fichiers avant la mise à jour ou bien être placé lui aussi dans fichier siteXX.tgz.
Ce script peut être utilisé pour faire de nombreuses choses.
La combinaison de siteXX.tgz et de install.site/upgrade.site a pour but de donner de larges capacités de personnalisation sans avoir à créer ses propres paquetages d'installation.
Remarque : Si vous comptez effectuer votre installation à partir d'un serveur HTTP, vous devez ajouter votre ou vos fichier(s) site*.tgz au fichier index.txt se trouvant dans le répertoire source afin que ce ou ces fichier(s) soi(en)t proposé(s) en option durant l'installation. Cette opération n'est pas nécessaire pour les installations à partir de FTP ou toute autre type d'installation.
Si cela est pour vous acceptable, vous devriez trouver dans la commande dd tout ce dont vous avez besoin, autorisant la copie d'un disque vers un autre, secteur-par-secteur. Celui-ci vous fournira souvent les mêmes fonctionnalités que les programmes commerciaux, sans le prix.
mount -t msdos /dev/fd0a /mnt
dmesg >/mnt/dmesg.txt
umount /mnt
Si vous avez un autre système OpenBSD, vous pouvez aussi écrire sur une
disquette compatible OpenBSD -- souvent, la disquette d'amorce a encore
assez d'espace libre pour contenir le dmesg. Dans ce cas, retirez le
"-t msdos" ci-dessus.
Des informations sur la configuration d'une console série sont données ailleurs dans la FAQ; dans le but de capturer le log de l'installation, les commandes suivantes sont souvent suffisantes.
i386
A l'invite de démarrage tapez :
boot> set tty com0
Cela indiquera à OpenBSD d'utiliser le premier port série (souvent appelé COM1 ou COMA dans la documentation du PC) en tant que console série. La bande passante par défaut est 9600 bauds.
Sparc/Sparc64
Ces machines utiliseront automatiquement une console série si elles sont lancées sans clavier. Si vous avez un clavier et un écran attachés, vous pouvez toujours forcer le système à utiliser une console série avec l'invocation suivante à l'invite ok.
ok setenv input-device ttya
ok setenv out-device ttya
ok reset
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